Dix mois après avoir reçu ses lettres de créances du roi Mohammed VI, le désormais…
Il ne s’agit pas d’un rappel d’ambassadeur, témoignage d’une rupture claire et nette entre deux pays. Mais cela pourrait y ressembler. En mettant fin au mandat d’ambassadeur de Mohamed Benchaâboun à Paris, en nommant l’ancien ministre des Finances à la tête du Fonds Mohammed VI pour l’investissement, le Conseil des ministres semble creuser davantage le malaise existant entre Paris et Rabat. Un malaise dont les origines semblent être connues de tous mais pas son remède.