Absence de scènes de concert, failles dans la chaîne de production, rareté des maisons de disques, casse-tête de droits d’auteur… rien de nouveau sous le soleil : l’industrie musicale marocaine souffre d’un ensemble de maux que les artistes n’ont cessé de déplorer depuis près de vingt ans. Confrontée à cette impasse, Manal Benchlikha a choisi de tracer d’autres routes. “Il y a des domaines qui sont structurés…