Ces concertations nationales sur l’amélioration de l’école publique s’inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre des chantiers jugés “prioritaires”, au titre du prochain quinquennat, par le département de tutelle.
Des chantiers qui reposent sur trois piliers essentiels : “permettre aux élèves d’acquérir les savoirs fondamentaux et leur garantir les conditions d’achever le cursus éducatif obligatoire, motiver, former le corps professoral et assurer sa contribution au succès scolaire des élèves, et offrir des écoles modernes, ouvertes et appuyées par une équipe pédagogique douée du sens de l’initiative”, précise un communiqué du ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports.
“Une approche participative élargie”
“Ces pourparlers lancés aujourd’hui depuis la région de Marrakekch-Safi incluront les partenaires du ministère, la société civile, les pédagogues ainsi que les Marocains résidents à l’étranger (MRE)”, indique-t-on.
Cette initiative a pour objectif de “repérer des expériences innovantes, des idées créatives ainsi que les meilleures pratiques”
Selon le ministère de l’Éducation, cette initiative a pour objectif de “repérer des expériences innovantes, des idées créatives ainsi que les meilleures pratiques relatives au domaine de l’Éducation”.
Le département de Chakib Benmoussa envisage également l’inclusion, dans ces concertations, des élèves du cycle primaire, du corps professoral et administratif et des associations de parents d’élèves, suivant “une approche participative élargie”.
Une plateforme numérique, www.madrastna.ma, est mise en place pour recevoir les propositions de l’ensemble de la société marocaine.