PCR. Un acronyme de trois lettres qui fait pourtant perdre à la destination Maroc d’importantes parts dans le marché ultra-concurrentiel du tourisme mondial post-Covid-19. Accueillie au soulagement général, la réouverture des frontières le 7 février dernier, deux mois après une fermeture justifiée par la vague Omicron, a créé un appel du grand air. En même temps, cette débunkérisation du royaume a boosté la reprise du trafic aérien, même si les conditions d’accès au territoire marocain poussent parfois certains touristes étrangers à bouder le Maroc au profit d’autres destinations considérées comme plus “clémentes”.
Un lourd protocole…
En amont de sa décision d’ouvrir à nouveau les frontières du Maroc, le gouvernement Akhannouch avait émis une série de six mesures sanitaires applicables à ceux qui se pressaient pour séjourner ou retourner dans le royaume. Parmi…