Ce contenu est une communication d’entreprise. Il n’a pas été rédigé par les journalistes de TelQuel.
A Propos des événements :
FITUC 33 :
Cette 31ème édition du festival revêt un caractère important par rapport aux éditions précédentes. C’est le début d’une nouvelle phase de son histoire après 30 ans d’existence. L’organisateur a souhaité faire d’elle un moment fort de l’histoire de l’université Hassan II de Casablanca par nos projections dans l’avenir de ce projet culturel citoyen, casablancais et marocain.
Après les thèmes des précédentes éditions ; “Silence“, “Action“ et “Interaction“, il a été choisi cette année “Théâtre et Changement“. Ce choix, comme les choix précédents, n’est pas fortuit. Il rejoint l’ambition d’être dans l’actualité du monde, et la réaction aux différentes thématiques posées à l’étude et au débat, surtout dans le cadre d’une approche académique représentée par ce festival.
Le monde moderne a connu de profonds changements sociaux et culturels, suite au développement démographique et à l’évolution économique et technologique incessants. L’art en général et le théâtre en particulier n’ont pas échappé à ces changements. Ainsi, les acteurs des différents métiers du théâtre commencent à se poser des questions sur les objectifs et les valeurs que cet art doit véhiculer et également sur les stratégies et les manières pour le promouvoir et le communiquer aux différents publics.
FITUT 14 :
Le FITUT a essentiellement pour but de « démontrer aux jeunes que les valeurs de tolérance, d’ouverture et d’acception de l’autre dans sa diversité et sa particularité, par le biais de l’art, font partie de la construction du Marocain de demain ». Via son ambition de créer des ponts de fraternité entre les différentes troupes universitaires à travers le monde, le festival réaffirme le rôle du Maroc en matière de brassage culturel et sa volonté de promouvoir une culture de paix et de dialogue entre les peuples, les civilisations et les religions.
Ce carrefour culturel revêt une sonorité singulière dans la mesure où il ambitionne de soutenir les jeunes talents passionnés par le théâtre, en vue de les inciter à continuer à porter dignement le flambeau de l’art vivant, avec l’objectif de contribuer au rayonnement culturel de la ville du Détroit et de renforcer son patrimoine culturel, a-t-il ajouté.
Au menu de cette édition, qui se poursuit jusqu’au 29 octobre prochain, on trouve une palette d’activités, des ateliers et une masterclass. Le tout dans l’optique d’offrir aux festivaliers une excursion théâtrale exceptionnelle. Cette édition prévoie également d’autres hommages à de grandes icônes du théâtre marocain. L’un de ces hommages sera rendu à l’acteur, réalisateur et scénariste Mohamed Tsouli et un autre au grand homme de théâtre Ahmed Saari et Nora Skalli.
CIGUT 2021 :
L’événement a été lancé en 2018 sous le patronage du président Abdel-Fattah El-Sisi dans le but de donner l’occasion aux étudiants universitaires égyptiens et internationaux, aux artistes et aux chercheurs dans le domaine du théâtre universitaire de discuter et de développer leur pratique en s’exposant à différents des cultures. Le rassemblement met également l’accent sur un dialogue et un échange possible entre le secteur du théâtre des étudiants.
La troisième édition du Rassemblement international du Caire pour le théâtre universitaire a lieu du 24 au 30 octobre. Placé sous le haut patronage du Premier ministre Mostafa Madbouly, le rassemblement se tiendra sous le thème « Une nouvelle Égypte, un nouvel avenir ». Dirigé par Amr Kabil, le rassemblement est organisé avec le soutien des ministères de la Culture, de la Jeunesse et des Sports et du Tourism.
Dans cette édition, le forum verra la participation de nombreuses universités égyptiennes en plus de 24 pays d’Europe, d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine, ont révélé les organisateurs. Le conseil d’organisation de la troisième édition comprend le président Hossam Badrawi, le réalisateur Amr Kabil, l’artiste Samira Abdel-Aziz, la romancière Doha Assy, chef du département de théâtre à l’Université américaine du Caire Dina Amin; Vice-doyen de l’Institut supérieur du folklore Samar Said, entre autres.