Retenues après instruction de leur dossier, sur la base des conditions requises, ces organisations et instances d’Afrique, d’Europe et d’Asie exerceront leur mission d’observation dans les circonscriptions électorales de leur choix, au niveau des douze régions du royaume, affirme le CNDH dans un communiqué.
Selon la même source, il s’agit, entre autres, de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, de l’Organisation internationale de la francophonie, de la Chambre civile russe, du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l’Europe, de Gender Concerns International, de Nouvelles perspectives, du Conseil national de régulation de l’audiovisuel au Sénégal, du Conseil supérieur de la communication au Burkina Faso, du Centre africain pour la prévention des conflits, du Cercle Eugène Delacroix, de Dynamic Maroc et du Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’Homme.
Sur le plan arabe, ont été accrédités la Ligue arabe, le Parlement arabe et le Réseau arabe des institutions nationales des droits de l’Homme, précise le communiqué, ajoutant que les représentations diplomatiques à Rabat de la Commission européenne, du Royaume-Uni, du Canada et des Pays-Bas ont également été retenues.
Le CNDH a fait savoir que des rencontres de communication seront organisées au profit de ces organisations et instances, afin de jeter la lumière sur l’arsenal juridique relatif aux élections et aux observateurs.
Ces observateurs viennent s’ajouter à plus de 4600 autres, représentant 44 ONG nationales, en plus du CNDH.
(avec MAP)