Amour, liberté et transgression sont ses mots d’ordre. Abdellah Taïa se veut effronté et raconte la vie telle qu’il l’a vécue, à travers des œuvres où se heurtent un passé douloureux, une fiction pas si fictive que ça, et des personnages qui “prennent en otage le texte littéraire”.
Vous venez d’annoncer la traduction de La Vie Lente en norvégien. Un premier essai, intitulé Abdellah Taïa, la mélancolie et le cri par le critique littéraire Jean-Pierre Boulé vient tout juste de vous être consacré. Pensez-vous avoir atteint la notoriété d’auteur international ?…
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