A l’entrée de la Foire internationale de Casablanca, c’est le branle-bas de combat. Une enseignante tente, tant bien que mal, de contrôler un groupe d’écoliers qui trépignent d’impatience pour s’engouffrer dans l’imposant bâtiment. Des quinquagénaires grillent leurs cigarettes en faisant fièrement l’inventaire des livres achetés et ceux abandonnés “car trop coûteux” et un agent d’entretien…