“Mais par où commencer ?” s’interroge Jean-François Marmion, dans un édifiant avant-propos intitulé “Et le singe devint con”. Un an après sa remarquée Psychologie de la connerie, le sujet titille encore le psychologue, qui invite à nouveau d’éminents spécialistes au chevet de cette “mauvaise fée aux mille visages” indissociable de l’humanité, et dont il est persuadé qu’elle “creusera la tombe”.
Après les psychologues et sociologues, ce sont cette fois les historiens qui ont à en éclairer les innombrables facettes et à proposer “
une tentative de débroussaillement, une exploration de contrées intimidantes car luxuriantes… en un mot, une enquête.” Et il fallait bien des sommités comme Paul Veyne, Bruno Dumézil, Martine Groult, Robert Sutton, membres du CNRS et du Collège de France, etc., pour embrasser une si vaste matière.
Phénomène universel
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