Les volcans qui me brûlaient les entrailles se sont éteints, leurs brasiers ne me consument plus de l’intérieur, et me voilà aussi froid qu’un cadavre”, confie Alaeddine du fond de la cellule où il attend son exécution pour avoir assassiné sa mère. Sa seule satisfaction : avoir déjà quitté ce monde qui ne lui a pas fait de cadeau et qui ne lui inspire aucun regret. Ce jeune homme,…