"Nous souffrons d'un vide juridique concernant la publicité mensongère"

La HACA a présenté le 14 janvier son bilan 2019. L’occasion de revenir avec sa présidente Latifa Akharbach sur les principaux enjeux du paysage audiovisuel marocain.

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Latifa Akharbach a notamment dénoncé la “normalisation aberrante de l’atteinte à l’intégrité des femmes dans les médias”. Crédit: MAP

Installé rue Annakhil à Hay Ryad, à Rabat, le siège de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a accueilli, mardi 14 janvier, une conférence de presse en vue de présenter le bilan d’un an de travail du Conseil supérieur de la communication audiovisuelle (CSCA), l’instance délibérative et décisionnaire de la HACA. Latifa Akharbach, présidente du CSCA, journaliste de formation qui cumule 20 ans dans l’enseignement et plus de 10 ans de diplomatie, accueille tout sourire les journalistes, “partenaires de la HACA”, selon ses mots. Le but de cette rencontre ? “Mieux faire connaître le CSCA et présenter le bilan de l’année 2019”.

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Nous avons préféré nous abstenir de sortir dans les médias avant d’avoir quelque chose de concret à annoncer”, déclare d’emblée la présidente de la HACA. “Nous avons souhaité nous familiariser avec les évolutions qu’a connu le domaine de la régulation. Mais il est clair que travailler sans voir son reflet dans le miroir…

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