L’histoire n’a retenu de Abdellah Ben Aïcha que son ambassade à la cour de Louis XIV en 1698 pour demander la main de sa fille, Marie-Anne de Bourbon, princesse de Conti, pour Moulay Ismaïl, essuyant un cinglant refus. Mais, raconte son voisin et ami d’enfance, “il n’était pas fait de la même étoffe que nous”. Ben Aïcha, Kebir Ammi, Mémoire d’encrier, 168 p., environ 200…