Un public à la génération mouvante, une audience éparse, une présence à la toquade vive. Aziz, flanqué de son quintet, fait son entrée en chantant sans piper mot. Premier jet large et efficace pour qu’un parterre se mette en transe. Ensuite, c’est la bonhomie d’un citoyen du monde qui parle, qui appelle à la communion, au bonheur…