La chimie de la désillusion

Phénomène de librairie, le 7e roman de Michel Houellebecq poursuit son décorticage du mâle blanc vieillissant. Déprimant à souhait, quoique sans surprise.

Par

Florent-Claude Labrouste, ingénieur agronome, 46 ans, qui déteste son prénom et se considère comme “une inconsistante lopette”, envisage avec lucidité sa propre vie comme “un flasque et douloureux effondrement”. Bref, il se meurt. De chagrin.

Sérotonine
, Michel Houellebecq, 
Flammarion, 352 p., 280 DHCrédit: DR
Les bons docteurs Lelièvre puis Azote lui prescrivent des doses de plus en plus fortes…
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