Et voici le rap d’exploitation ! On s’y exprime la bouche pleine, orchestrant un vacarme de fin du monde. Cela part en virelangues, en verbosités, en libelles, en factums. Ses auteurs bombent le torse et mettent en évidence leurs biceps vocaux. Cela dégouline, sans forcément couler de (bonnes) sources. Une violence verbale pratiquée à gorges déployées. Une…