Je construisais la capitale, j’avais bien le droit de couler dans ses veines”, martèle Bouzid Benlaâla. À son fils qui souhaite recueillir ses souvenirs, il confie en premier le face-à-face insultant avec une assistante sociale qui veut l’envoyer vivre de l’autre côté du périphérique. Mais pour le maçon kabyle, il n’en est pas question : il n’a pas quitté son village pour se retrouver parqué dans un ghetto communautaire en…