Rachid Taha, adieu camarade

Rocker inconsolable, bienfaiteur à la larme facile, il s’est éteint dans la nuit du 11 au 12 septembre à l’âge de 59 ans. Son ami, le journaliste et critique musical Anis Hajjam, rend hommage à ce dandy mystérieux et punk déjanté, à la fois algérien, maghrébin et français d’adoption, qui n'a cessé de chanter la remise en question.

Par

A la fois punk déjanté et dandy mystérieux, Rachid Taha naviguait avec aisance du raï au rock en passant par l'électro, sans jamais se départir de sa poésie, de son élégance et de sa pertinence. Crédit: Yassine Toumi

Fauché en plein sommeil, de quoi rêvait-il ? D’un monde bourré d’optimisme, pinté de libertés, shooté aux égalités ? Si nous avons vu juste, eh bien ce rêve a été violemment interrompu. Au diable…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter

Rejoignez la communauté TelQuel
Vous devez être enregistré pour commenter. Si vous avez un compte, identifiez-vous

Si vous n'avez pas de compte, cliquez ici pour le créer