Un titre nobiliaire irlandais pour baptiser un combo musicalement futuriste, poétiquement romantique. “D’abord, la sonorité est belle. Ensuite, il y a une forme de noblesse, un côté mystérieux”, explique Hicham Ayouch, cofondateur de cette formation au style hétéroclite. Les Barons de Baltimore est un concept, un projet artistique loin de tout et proche de rien. Leur musique reste à définir. Malgré quelques inspirations malaxant électro et jazz, l’atmosphère créée rejette les références établies. Et pour cause, les quatre membres du groupe viennent d’univers tellement différents que leur association n’inspire pas l’évidence de prime abord. Hicham, journaliste puis réalisateur de cinéma, grandit en écoutant Otis Redding, Bob Marley, Simon and Garfunkel, Jacques Brel, Barbara, Public Enemy… Autant dire qu’il a l’oreille généraliste. Amine Rharbi, claviériste et bassiste, s’engouffre dans le jazz, le reggae, l’oriental, le hip-hop et la techno. Salim Akki,…
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