Jazzablanca 2018: ce qu'il ne faut pas rater ce mercredi

Du bon son et un documentaire musical sont au programme de ce mercredi 18 avril, cinquième journée du festival Jazzablanca.

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Image d'illustration. Laura Pergolizzi dans une édition précédente de Jazzablanca. Crédit: Yassine Toumi/TELQUEL

Sons of Kemet, Jazzclub

Le saxophoniste Shabaka Hutchings est l’une des plus brillantes figures de la scène jazz contemporaine londonienne. Avec son groupe Sons of Kemet (nom inspiré de l’Egypte antique), Hutchings propose une fenêtre ouverte sur un jazz expérimental aux racines afro-caribéennes, sur les traces du mythique saxophoniste Pharoah Sanders.

Jazz Club, 22h30

Tom Odell

Les amateurs de pop à l’eau de rose ont rendez-vous avec le pianiste britannique Tom Odell. En Grande-Bretagne l’angélique musicien de 27 ans divise. Il est d’un côté adulé  par la jeunesse romantique et de l’autre sévèrement lynché par la critique anglaise bien pensante, à l’instar du magazine NME.

Scène Anfa, 21h

YolanDa Brown

Le jazz, la soul, et le reggae constituent la matrice de la musique de YolanDa Brown. Evoluant dans un circuit de petites scènes en Grande-Bretagne, la saxophoniste britannique a déjà collaboré avec Julian Marley ou The Temptations.

Scène Village, 22h30

They Will Have to Kill Us First

La musique comme arme de résistance contre l’obscurantisme. C’est ainsi que certains musiciens maliens ont choisi de répondre à l’inquisition des différentes fractions jihadistes islamistes qui ont pris le contrôle du nord du pays en 2012. De grandes figures de la musique malienne en exil comme Khaira Arby ou Songhoy blues traversent le film avec beaucoup de dignité.

Projection à l’Institut français de Casablanca à 19h30

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