Les grands sauts d'Adil Laraki

Après avoir raccroché ses pointes de danseur classique, il est devenu une pointure des politiques culturelles publiques en Allemagne. De Rabat à Essen, retour sur un parcours atypique, chorégraphié à la perfection.

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Adil Laraki a choisi la danse presque par hasard, parce qu'il voulait “gagner en muscles”. Crédit: DR

Juillet 1999. A la mort de Hassan II, Adil Laraki fait un rêve. Il y rencontre Mohammed VI (ils ont le même âge), et le danseur étoile lui dit : “Un pays qui n’a pas de troupe de danse, c’est un pays qui se meurt”. Mohammed VI lui répond : “Vous parlez d’une troupe de danse classique ?”, Laraki,…

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