Cette nouvelle commission d’enquête devrait travailler sur le sort réservé à la convention collective du 17 février 1998 signée par le ministère de l’Énergie et des Mines, la société Charbonnages du Maroc et les centrales syndicales, selon une source à la chambre des conseillers.
Cet interlocuteur révèle à Telquel Arabi que la constitution de cette commission d’enquête est une initiative des groupes du PJD, de l’USFP, de l’Istiqlal, de la CDT, de l’UMT et le groupement de l’Action démocratique.
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La même source explique que les groupes derrière cette initiative estiment qu’il y a un lien entre les protestations des habitants de Jerada et le non-respect des termes de la convention de 1998 et du programme économique qui l’accompagnait après la liquidation de la société Charbonnages du Maroc.
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Selon les dispositions de l’Article 67 de la Constitution, les commissions d’enquête parlementaires peuvent être mises en place à l’initiative du roi, à la demande de la majorité des membres de la chambre des représentants ou du tiers des membres de la chambre des conseillers.
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