« Rendez-vous au tribunal », avait tweeté le président républicain, irrité par la suspension le 3 février de son premier décret migratoire. Il faut croire qu’il a été entendu, vu la multiplication de plaintes concernant cette mesure radicale et sa version amendée, qui doit entrer en application le 16 mars.
Le nouveau texte interdit l’entrée aux Etats-Unis aux voyageurs de six pays musulmans, contre sept dans sa version précédente. Il s’agit du Soudan, de la Syrie, de l’Iran, de la Libye, de la Somalie et du Yémen. L’Irak ne fait plus partie des pays visés par l’interdiction, tandis que les détenteurs de cartes vertes et de visas valides sont également exclus de l’application du décret.
Deux cours fédérales, à Hawaï et dans le Maryland, ont annoncé des audiences mercredi sur cette mesure qui s’est imposée comme la plus controversée du début de mandat de Donald Trump.
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(Avec AFP)
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