De nouveaux objectifs pour la SNI. Selon l’édition du 17 octobre du quotidien L’Économiste, le fonds d’investissement panafricain a de plus grandes ambitions concernant ses activités à l’international. Le PDG du holding royal devenu fond d’investissement panafricain, Hassan Ouriaghli, table sur une part de 35 % des résultats réalisés à l’international d’ici 2020 contre 20 % actuellement. Cette annonce intervient en marge de la première convention de la SNI sous l’ère Ouriaghli. Cette réunion, tenue le 14 octobre, s’est déroulée en présence de 120 cadres de l’entreprise ainsi que de Mounir Majidi, secrétaire particulier du roi Mohammed VI et président du principal actionnaire de la SNI, Siger.

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Cité par le quotidien, Hassan Ouriaghli affirme que cette stratégie tournée vers l’international « sera un axe majeur des orientations stratégiques de la SNI, notamment celles relatives à la mise en œuvre de la stratégie de fonds d’investissement panafricain telle qu’elle a été entérinée par le conseil d’administration ».

Le développement à l’international est orienté essentiellement vers l’Afrique. D’ailleurs, le fonds d’investissement a déjà opéré, dans ce sens, deux partenariats majeurs. Le premier concerne la joint-venture africaine créée avec le géant LafargeHolcim. La seconde opération concerne le domaine de l’énergie. Le 24 juin, Engie et Nareva Holding , filiale de SNI, ont signé un accord visant à mettre en commun leurs compétences et à accélérer leur développement en Afrique du Nord et en Afrique de l’Ouest. Les pays africains visés sont notamment l’Égypte, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Ghana et le Cameroun.

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