Les évènements se déroulent en 1958, pendant la guerre d’Algérie. A la frontière maroco-algérienne, à 10 km d’Oujda, l’Armée de Libéralisation Nationale fait passer des armes et des vivres offertes par le Maroc et les organisations internationales.
Cette frontière permet également aux fuyards de la guerre de quitter l’Algérie française via les montagnes de Tlemcen jusqu’à Berkane, avec l’aide de Moussa, un marocain sympathisant de la révolution.
Alors qu’il s’y rend pour effectuer sa mission habituelle, on lui demande de faire fuir un groupe de sourds-muets et le conseille de changer d’itinéraire en passant par Beni Boussaïd. Sauf que ce dernier se trouve sur la ligne “Morice”, une ceinture de 700 kilomètres électrifiée et truffée de mines, édifiée par le ministre français de la défense André Morice.
Sur les premiers extraits, on remarque la présence de grands noms du cinéma marocains tels que le défunt Mohammed Bastaoui, Mohammed Choubi, Mohammed Khouyi, Amal Ayouch, Younes Megri et Amine Ennaji.
Le film qui semble avoir réuni tous les ingrédients nécessaires pour plaire. Pour rappel, ce troisième long-métrage du réalisateur Kamal Kamal a raflé trois prix lors du festival national du film de Tanger. D’abord, celui Grand prix, puis le prix de la meilleure musique et du meilleur son.
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