Invité des étudiants de l’Ecole de gouvernance et d’économie, Nabil Benabdellah en a profité pour s’exprimer sur le film Much Loved.
Durant son intervention, il a d’abord affirmé son attachement à la liberté d’expression mais a ensuite critiqué la dernière réalisation de Nabil Ayouch qui, pour rappel, n’a pas encore été visionné au Maroc. Pour le secrétaire général du PPS, le long-métrage du cinéaste marocain n’est pas « un travail créatif et artistique ». Le ministre de l’Habitat estime également qu’il y a « des façons plus intelligentes pour traiter le sujet » de la prostitution et juge que Nabil Ayouch a cherché à voir son film interdit en salles.
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Benabdallah n’est ni communiste ni de gauche. Cest un OVNI au service des puissants et de sa petite personne. Toujours la même rengaine: je suis pour le principe de la Liberté… mais… balabla. La Liberté est totale, indivisible et entière. Dan un pays libre, le citoyen n’a nullement besoin de tuteur pour apprécier ou pas une quelconque oeuvre. A bas les censeurs de tout poil!