Ils avaient l’intention de «perpétrer des crimes terroristes dangereux» au Maroc et avaient «émis une fatwa» autorisant de «brûler vif» une de leurs connaissances qu’ils accusent d’ «apostasie», d’après un communiqué du ministère de l’Intérieur.
L’enquête, menée par le Bureau central des investigations judiciaires (BCIJ), a révélé «l’adhésion totale»de la cellule démantelée avec l’agenda du groupe État islamique (EI).
Le chef de cette cellule a une «grande expérience » en matière de fabrication d’explosifs et voulait s’en servir «dans l’exécution de projets terroristes contre des cibles sensibles» dans le royaume, d’après la même source.
Deux anciens détenus pour terrorisme arrêtés à Fès et Tanger
Lundi 27 avril, les autorités marocaines ont également arrêté à Fès et Tanger deux anciens détenus dans des «affaires de terrorisme» membres d’un réseau responsable du braquage d’une agence de transfert de fonds à Meknès. Ils planifiaient des «opérations criminelles extrêmement dangereuses», selon un communiqué du ministère de l’Intérieur.
Le Maroc, qui compte quelque 1 500 ressortissants dans les rangs d’organisations jihadistes comme l’EI, a complété l’an dernier sa législation pour mieux lutter contre ce phénomène. Les autorités, qui ne masquent pas leur inquiétude, ont par ailleurs lancé en 2014 un nouveau dispositif de sécurité nommé vigilance et annoncé de multiples démantèlements de cellules terroristes au cours des derniers mois.
Sont malades ces apaches tu parle des musulmans ils sont rien avoir avec l’islam ces cons