Litige à 46 000 dollars entre un Franco-Marocain et Google

Idris Sami, un entrepreneur franco-marocain de 19 ans, s'est vu privé de 46 000 $ de revenus publicitaires par Google.

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Le siège social de Google à Mountain View en Californie
Un litige à 46 000 $ oppose désormais Idris Sami, fondateur de Mestextos.com, à Google. Crédit : Robbie Shade / Flickr

Idris est le créateur de Mestextos.com, un site permettant d’envoyer des SMS gratuitement depuis Internet. Il se rémunérait en vendant des espaces publicitaires sur son site via AdSense, la régie publicitaire de Google, nous apprend Business Insider.

Son site génère un trafic important, lui ayant rapporté au total 46 000 $ (385 500 dirhams) sur son compte AdSense. A tel point que le jeune homme a été contacté par les équipes de Google basées à Dublin, qui lui ont proposé d’affiner et d’optimiser les revenus générés par sa plateforme.

Cependant, la success story s’est brutalement arrêtée avec un email de Google lui annonçant que son compte AdSense était suspendu et que l’ensemble de ses revenus seraient remboursés aux annonceurs. Selon Google, Idris ne respecte pas les conditions d’utilisation de AdSense, et s’est exposé aux sanctions prévues en cas d’infraction au règlement.

Google l’accuse d’attirer excessivement l’attention des internautes sur les publicités en vue de les faire cliquer dessus, ce qu’il nie. Il aurait, toujours selon Business Insider, engagé un avocat pour tenter de récupérer les sommes qu’il a engrangées.

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    1. Non, ils ne le sont pas, ayant utilisé google adsense aussi, je me rappelle bien que les conditions d’utilisation nous faisait comprendre qu’il ne fallait pas inciter les visiteurs à cliquer sur les publicité, je crois qu’il a zappé la carte d’utilisation de google adsense et qu’il a du solliciter les visiteurs à cliquer sur les publicités et ceci pour avoir plus de revenu.

  • Google fait pareil, elle met en avant sur sa premier page de référence les société dont elle a des accord commerciaux ou bien qui lui appartient. Les concurrents sont souvent en 3 ou 4 eme page, la ou personne ne regarde.

  • Sachez bien que Google donne plus d’importance à ses « Advertisers » qu’au « publishers » et s’il est vrai que Driss n’a pas respecté les conditions d’utilisation alors Google choisirait de perdre son « Publisher » que de perdre l « Advertiser »