Huis clos. Un condamné à mort, dernier pensionnaire d’une prison désaffectée, attend son exécution. Quand vient le moment de prononcer ses dernières paroles, il profite du fait que leur durée n’est pas précisée dans la loi pour se lancer dans un long monologue, retransmis à la télé. Espérant ainsi échapper à la sentence, il devient une sorte de Shéhérazade du cachot, tissant son histoire pour ne pas mourir. Dans Dead Man Talking, le Belge Patrick Ridremont endosse simultanément la cape de réalisateur, coscénariste et acteur principal, sans pour autant faillir à l’une de ces missions.
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