Les leaders du parti non autorisé Al Oumma ne voient pas encore le bout du tunnel. La formation politique, dirigée par Mohamed Merouani, ex-détenu dans l’affaire Belliraj, vient de rendre public un communiqué où le parti s’offusque de la décision du ministère de l’Intérieur de transmettre, pour la deuxième fois, le dossier de constitution au tribunal administratif. Pour les responsables d’Al Oumma, la décision du ministère de l’Intérieur est “une entrave flagrante à la constitution du parti”, peut-on lire sur le communiqué daté du 3 juin. Pour rappel, le premier responsable du parti, Mohamed Merouani avait été gracié par le roi en avril 2011, grâce à la pression exercée par les manifestants du 20 février et la médiation du CNDH.
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