Les candidatures des 19 démissionnaires de la deuxième chambre aux législatives font toujours jaser. Le ministère de l’Intérieur brandit la menace de les invalider tant que le conseil constitutionnel n’a pas déclaré la vacance des sièges, avec publication au BO. “C’est une interprétation erronée des lois. La démission est effective une fois rendue publique en séance plénière”, explique un conseiller.
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