Selon le PJD, ces problèmes découlent directement des conflits d’intérêts, dont le chef du gouvernement Aziz Akhannouch est un exemple frappant. Le parti rappelle notamment comment une entreprise liée à Akhannouch a remporté un important contrat de dessalement d’eau dans la région de Casablanca-Settat, suivi d’une demande illégale de subventions publiques et d’avantages fiscaux spécifiques accordés par la Loi de finances de 2023.
Le PJD critique également les actions du gouvernement depuis son instauration, notamment le retrait d’un projet de loi pénale visant à combattre l’enrichissement illicite. De plus, il accuse le chef du gouvernement de paralyser la lutte contre la corruption. Le parti est préoccupé par les attaques continues contre les autorités de gouvernance, telles que l’Instance nationale de probité, de prévention et de lutte contre la corruption.