Les accusations portées contre eux découlent d’incidents de violence survenus au sein de l’établissement au début du mois. Ils étaient impliqués dans une bagarre qui a non seulement entraîné des blessures mais aussi des dommages matériels à des biens mobiliers et des infrastructures publiques.
De plus, ils ont été reconnus coupables d’insultes envers un fonctionnaire public en fonction, et de possession illégale d’armes dans un contexte menaçant la sécurité publique.
Outre ces accusations, les étudiants étaient également poursuivis pour menace et dégradation de biens appartenant à autrui.