Ce taux est passé de 244 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2000 à 72 décès en 2020, “grâce aux efforts déployés par le Maroc en matière d’encadrement médical, notamment en gynécologie-obstétrique”, a souligné Tahraoui, en réponse à une question orale adressée par le groupe Authenticité et Modernité.
Dans le cadre de la consolidation de ces acquis, le ministère redouble d’efforts afin d’assurer un encadrement médical adéquat dans ce domaine, a assuré le responsable gouvernemental. Des postes sont d’ailleurs ouverts en vue de former des médecins spécialistes à titre contractuel, à la faveur de concours de résidanat organisés annuellement.
Tahraoui a également fait part de l’engagement du ministère à renforcer chaque année les hôpitaux publics, en les dotant de diverses spécialités vitales, dans le but de garantir la continuité des prestations de santé et de garantir le droit à des soins de qualité.
(avec MAP)
