Selon Al3omk, ce document, destiné à être présenté au Comité contre la torture à Genève, aborde la mise en œuvre de la convention internationale contre la torture et autres traitements inhumains. Lors d’une réunion dédiée à la discussion générale sur le projet de loi des commissaires judiciaires, Ouahbi a souligné l’importance cruciale de ce rapport pour l’image et la réputation internationale du Maroc.
Ouahbi a insisté sur la nécessité d’une collaboration étroite entre le ministère et le corps législatif pour adresser et corriger toute lacune dans le rapport, affirmant que les erreurs passées où le Conseil national des droits de l’Homme travaillait sans l’inclusion du législatif étaient révolues.
Il a également reconnu que, bien que le rapport actuel soit perfectible, le ministère s’engage à ne pas masquer les défauts mais plutôt à les reconnaître et à y remédier.
De plus, le ministre a réitéré que les cas de torture rapportés ne reflètent pas une politique systématique de l’État, mais plutôt des déviations individuelles, nécessitant une action résolue pour éviter que ces actes isolés ne se transforment en pratiques systématisées.