Ce projet, nécessitant un investissement de 11 milliards de dirhams sur la période 2025-2034, vise à diversifier et sécuriser les ressources en eau à travers des infrastructures modernes.
L’accord prévoit la construction de barrages, le dessalement d’eau de mer et la création de canaux pour acheminer l’eau dessalée vers les zones en besoin. Des mesures incluent aussi le traitement des eaux usées et la réduction des impacts des inondations, tout en améliorant l’accès à l’eau potable dans les zones rurales.
Les régions financeront le projet, Casablanca-Settat contribuant à hauteur de 2,39 milliards de dirhams, suivie de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma (1,08 milliard) et d’autres régions. L’ensemble des travaux, coordonnés par un comité de pilotage, s’inscrit dans les orientations royales et le programme national d’eau potable et d’irrigation 2020-2027.