Selon le comité, les grèves précédentes et les réunions dans divers hôpitaux universitaires n’ont pas réussi à faire écho à leurs demandes auprès du gouvernement.
En réponse à cette indifférence, le comité a opté pour une intensification de leurs actions avec cette grève qui, toutefois, ne touchera pas les services critiques tels que les urgences, la réanimation et les gardes, garantissant ainsi la sécurité des patients et le maintien des services vitaux.
L’appel à la grève est soutenu par une demande de mobilisation générale chez les médecins internes et résidents, les pharmaciens et les dentistes, pour faire valoir leurs revendications légitimes. Le comité souligne la nécessité d’unité dans leur démarche pour obtenir une réponse favorable.
Enfin, le Comité tient le gouvernement et les autorités compétentes responsables des répercussions de cette situation et n’exclut pas la possibilité de prendre des mesures plus radicales si leurs revendications continuent d’être ignorées.