Selon Alyaoum24, ces étudiants avaient été interpellés le 26 septembre dernier lors de manifestations à proximité de l’hôpital universitaire Ibn Sina. Ils protestaient contre la dispersion forcée d’un sit-in par les autorités.
Actuellement en liberté, ils sont accusés de désobéissance aux ordres de l’autorité et de participation à un rassemblement non autorisé. Depuis un an, ces étudiants mènent des grèves pour faire valoir leurs revendications.
Plusieurs avocats les représentent au tribunal, où ils ont déjà comparu devant le procureur du roi. Parmi les accusés figurent des membres du Comité national des étudiants en médecine, pharmacie et dentisterie.