Lors d’une séance à la Chambre des représentants, en réponse à une question du groupe Authenticité et Modernité (PAM), Ouahbi a contesté la validité des allégations de corruption sans preuves tangibles.
Le ministre a critiqué la façon dont le rapport généralise la corruption au Maroc, suggérant qu’une telle approche nuit à l’image du pays. Il a demandé des preuves spécifiques, notamment les noms des individus impliqués et les détails des infractions, pour permettre des actions judiciaires ciblées.
Ouahbi a mis en avant les initiatives législatives prises par son ministère pour lutter contre la corruption, incluant la loi sur le blanchiment d’argent et la réforme de la procédure pénale.
En conclusion, le ministre a souligné l’importance de la précision dans les rapports sur la corruption, affirmant que des accusations infondées pourraient compromettre l’intégrité du système judiciaire marocain, et a réitéré l’engagement de son ministère à poursuivre les coupables, une fois les faits clairement établis.