Ses principaux concurrents, issus des partis de la Justice et du Développement, de l’USFP et de la Fédération de la gauche, ont respectivement obtenu 15,49 %, 29,67 %, et 8,42 % des votes.
Confirmés par les autorités locales, ces résultats révèlent un taux de participation particulièrement faible de seulement 7 %. Le processus électoral a été marqué par des plaintes de fraude et d’influence financière illégale formulées par le Parti de la Justice et du Développement.
Cette élection fait suite à la destitution d’Abderrahim Oisslam par la Cour constitutionnelle, pour des infractions financières, ajoutant un chapitre supplémentaire à une période agitée pour cette circonscription.