Législatives françaises : Rassemblement national, les raisons d’un (semi) échec

Déjouant les prévisions qui donnaient le parti d’extrême droite gagnant lors du scrutin du 7 juillet, les Français ont largement voté pour “faire barrage”. La gauche est arrivée en première position, talonnée par le groupe présidentiel Ensemble. Peut-on, pour autant, parler d’échec ? 

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Jordan Bardella, président du Rassemblement national. Crédit: BootEXE / CC

Dimanche 7 juillet, les Français ont encore dit “non”. À la surprise générale, le Rassemblement national est arrivé troisième de ces législatives anticipées, imposées par le président Emmanuel Macron. Avec 143 sièges, le parti d’extrême droite de Marine Le Pen se retrouve finalement dans l’opposition, devancé par le Nouveau Front populaire…

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