Le mouvement, initié par le Corps national des techniciens du Maroc (CNTM), vise à faire pression sur le gouvernement pour obtenir des avancées significatives.
Parmi les revendications phares figurent une revalorisation salariale substantielle, la révision du statut particulier des techniciens et la régularisation de la situation administrative de certains d’entre eux, notamment les techniciens adjoints diplômés des écoles de techniciens adjoints.
Le CNTM dénonce également le mépris du gouvernement envers cette catégorie professionnelle essentielle au fonctionnement des services publics.
Les grèves, prévues les 5, 12, 19 et 26 juin, pourraient perturber le fonctionnement de nombreuses administrations et services publics.
Le CNTM espère ainsi pousser le gouvernement à ouvrir des négociations sérieuses et à répondre favorablement à leurs demandes.