Selon Alyaoum24, dans un point d’ordre, le groupe du Progrès et du Socialisme a exprimé son mécontentement face au rejet de sa demande de convoquer les commissions parlementaires pour que les ministres présentent leurs résultats sectoriels des deux dernières années, critiquant la décision basée sur l’article 101 de la Constitution comme un recul démocratique grave.
Driss Sentissi, chef du groupe Haraki à la Chambre des représentants, a défendu l’application stricte de la constitution et des lois, remettant en question le rejet des demandes par le bureau et soulignant que la responsabilité du bureau se limite à l’application de la loi.
Abdellah Bouanou, du Parti de la Justice et du Développement, a souligné un recul démocratique au sein de la Chambre, notant une violation des pratiques établies et des traditions du Parlement.
En réponse, Zineb Idelhi, du Rassemblement national des indépendants, a insisté sur le fait que la constitution réserve au Chef du gouvernement le droit de présenter le bilan devant le Parlement en session plénière, et non en commission, conformément au règlement intérieur de la Chambre.