Cette étude a été menée par les experts du Bureau international du travail avec les contributions substantielles du ministère de l’Économie et des Finances, de la CNSS, du CESE et d’autres parties prenantes concernées.
L’atelier a permis de recueillir les observations, propositions et enrichissements des principales institutions associées, notamment sur la viabilité financière du régime d’IPE, et de discuter des pistes d’amélioration possibles pour une protection sociale efficace et durable, indique un communiqué du CESE, précisant que le recours à cette étude actuarielle fait suite aux recommandations du Conseil, formulées dans son rapport intitulé : “L’indemnité pour perte d’emploi : quelles alternatives à la lumière de la loi-cadre sur la protection sociale ?”
Basée sur des consultations avec les différentes parties prenantes et des expériences internationales éprouvées, cette évaluation actuarielle vise à apprécier les impacts des différents scénarios de réforme sur le processus de généralisation de l’IPE au Maroc, ajoute la même source, notant qu’elle pourrait valablement alimenter le projet de protection sociale en cours de déploiement, qui vise la généralisation de l’IPE à l’horizon 2025, conformément à la loi-cadre 09.21.