Selon le journal électronique Hespress, depuis le début de l’année, des mesures ont été prises pour supprimer ces frais. La question des sommes considérables perçues de façon jugée illégale par ces entités au fil des ans reste en suspens.
Les consommateurs, ayant potentiellement payé des millions de dirhams en frais de transaction électronique, pourraient envisager de réclamer des remboursements, selon Ahmed Rahou, président du Conseil.