En réponse aux questions des députés, notamment celles de Mohamed Houjar de l’USFP et d’Abdessamad Hiker du PJD, concernant les moutons subventionnées à 500 dirhams destinées à l’abattage lors de l’Aïd al-Adha, Mezzour a assuré qu’elles avaient été vendues à des prix raisonnables.
Ryad Mezzour a reconnu qu’il y avait une augmentation générale des prix, un phénomène reconnu dans le monde entier. Cependant, il a affirmé que le gouvernement avait réussi à faire face à cette hausse.
“Je refuse qu’on nous qualifie de gouvernement de l’argent et des affaires (…) Nous devons examiner de près cette hausse des prix et évaluer l’efficacité de ce gouvernement dans sa gestion de cette crise mondiale des prix par rapport aux autres gouvernements du monde. Je vous le dis clairement, les Marocains ressentent une certaine pression, bien que nous ne le nions pas, mais cette pression est bien moindre que celle ressentie par les citoyens du reste du monde”, a-t-il ajouté.
