Le quotiden »Assabah » a mis en lumière cette question, où Hassan Ibrahim, chef de l’unité de suivi du parquet général des affaires familiales, a confirmé lors de sa participation au SIEL à Rabat que l’équipe chargée de l’étude a rencontré des difficultés pour faire face au phénomène du mariage des mineures au sein de l’élite intellectuelle, en particulier chez les enseignants. Il a également souligné que certains religieux continuent d’avoir des conceptions erronées sur le mariage des mineures.

Selon la même source,  il a été rapporté que 2300 jeunes filles mineures mariées ont été interrogées pendant leurs études, et les résultats ont montré que la raison du mariage précoce est la fuite de l’éducation et le manque d’opportunités éducatives. Cela a incité le procureur général à communiquer avec les ministères de l’Éducation, de la Jeunesse et des Sports, des Affaires religieuses et des Affaires islamiques, de l’Intérieur, de la Santé, de la Protection sociale, de l’Équipement et de l’Eau afin de coordonner avec eux et de les encourager à améliorer les conditions de vie, à autonomiser les groupes vulnérables et à réparer les infrastructures dans les zones rurales.