La représentation théâtrale, qui traite notamment de la question de l’exploitation des mineurs, aborde également plusieurs sujets qui préoccupent la société marocaine et sa culture, tout en s’appuyant sur des scènes musicales, notamment rap et hip-hop.
Les pièces La sixième colonne (Koweït) et Le radeau (Jordanie) ont remporté ex aequo le prix de la mise en scène, alors que La nuit des tueurs (Égypte) a été distinguée pour la meilleure scénographie et Discorde (Irak) pour le meilleur texte théâtral.
Cet événement culturel, qui s’est tenu du 6 au 14 novembre, a été marqué par l’interprétation de pièces de théâtre de plusieurs pays arabes, à savoir l’Arabie saoudite, l’Irak, le Koweït, l’Égypte, l’Algérie, la Jordanie et le Maroc.
Dix pièces de théâtre ont été en lice pour les meilleurs textes, mise en scène, comédien, comédienne, scénographie et spectacle.
Le jury du festival, présidé par le Jordanien Makhlid Al-Zyoudi, comptait parmi ses membres le Marocain Said Karimi.
En plus des représentations théâtrales, le programme de l’événement a prévu une conférence sous le thème “Le rôle du théâtre dans le sillage des crises arabes actuelles”, ainsi que plusieurs ateliers portant sur différents aspects du théâtre.
(avec MAP)