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Le concert d’ouverture sur la place Moulay Hassan a marqué d’entrée l’identité du festival : fusion toute ! Ici le maâlem Mohamed Kouyou et le maâlem Saïd Kouyou avec les Tambours du Burundi Amagaba, Jaleel Shaw et Sanaa Marahati, qui ont participé à une résidence.

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Musique, alizés rafraîchissants, sourires et bienveillance des festivaliers et des habitants… cet évènement est un spacecake avec de vrais morceaux de chocolat et le reste aussi. Ils sont doux les sons de la ville, devant les scènes de concert, ou dans les ruelles où ils se propagent.

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Au cœur de la ville, intimiste, la zaouïa des Aissaoua accueille les “lilas” de la confrérie. Ici, la soirée où le maâlem Rachid Benteir était le MC des festivités.

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La cofondatrice et productrice du festival Gnaoua, Neila Tazi, heureuse d’accueillir le public après deux ans d’interruption. Ici, en compagnie du ministre de la Culture, Mehdi Bensaïd, et de Nabil Benabdallah, un habitué du festival.

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Essaouira a accueilli près de 300 000 festivaliers, heureux de découvrir l’évènement ou retrouver leur spot musical.

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Sur la scène de la plage, Bab L’bluz a martelé une vérité musicale : toute la musique que l’on aime, elle vient de là, elle vient du blues et a pour origine le guembri.

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On s’y attendait, le concert de Gnawa Diffusion a été chaud bouillant. Le public était si nombreux que, badge ou pas, impossible d’y accéder si on n’était pas venu en avance. Beaucoup n’ont pas vu Amazigh Kateb en chair et en os, mais pas grave, on l’entendait chanter sur les côtés de la scène.

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Le groupe de chaâbi Hasba Groove sur la scène de la plage. Avec les Marocains, une chose est sûre, dès que la aïta est au rendez-vous, ils derdek et 3aoude derdek.