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La reine Máxima des Pays-Bas accueillie par l’ambassadeur du Royaume du Maroc, Mohamed El Basri, à son arrivée à l’événement. crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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Une robe du Maroco-Néerlandais Mohamed Benchellal au défilé d’ouverture. crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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La section “Monumental” du parcours d'exposition. Au premier plan, une robe-sculpture créée spécialement par Mohamed Benchellal, suivie d'une création New Tangier. crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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Au second plan, les créations de Sara Chraïbi, Maison ARTC, Yasmina Ajbilou et Daily Paper (de gauche à droite). crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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La reine Máxima des Pays-Bas portait une robe Benchellal. crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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“J’accumule une montagne de matières. Ensuite, je touche, je mélange, j’expérimente… Je commence par le milieu, le ventre autour duquel se crée la robe. Et, je ne sais jamais à quel moment j’arrête. La forme se crée d’elle-même. Elle naît de la matière.” crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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Nourredine Amir a fait de ses robes-sculptures une marque de fabrique, des pièces réalisées à partir de matériaux bruts provenant de différentes régions du Maroc. crédit : Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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Une œuvre textile de Yto Barrada (au fond) côtoie une tapisserie de Samira Charroud et un extrait du poème de Fadma El Ouariachi “Les racines de cette vie”. crédit : Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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Zineb Seghrouchni de DAR cultural agency et Ninke Bloemberg du Centraal Museum, curatrices de l’exposition, assurent la visite. crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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“Pour moi, Casablanca est un laboratoire.” Pionnier de la photographie street style au Maroc, Joseph Ouechen livre des clichés déjouant tout stéréotype. crédit : Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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La diaspora marocaine aux Pays-Bas représente plus de 419.000 personnes. Le choix de la ville d’Utrecht pour l’exposition s’explique d’ailleurs par sa forte communauté marocaine.

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Meryem Slimani a fait de sa mère son modèle : elle la photographie sous toutes les coutures. Derrière ces images joyeuses et colorées, une volonté de visibiliser les femmes issues de l’immigration. crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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Spécialement créée pour l’exposition, une œuvre du Maroco-Néerlandais Saïd Mahrouf, conçue avec Esmail Ouariagli Essafi, le fils de Abdelkader Ouazzani, dernier maître du brocart. crédit : Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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Les créatrices Fadila El Gadi, Mina Abouzahra et Meriem Belkhayat cherchent à perpétuer des savoir-faire ancestraux, notamment le travail de broderie. crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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Tamy Tazi a révolutionné le caftan dès les années 1970. Tissus aériens, coupes plus fluides, le vêtement est allégé pour plus de confort, dans une quête d’émancipation. Ce n’est plus le corps qui s’adapte au vêtement, mais le vêtement qui s’adapte au corps. L’exposition MOḌA rend hommage à cette pionnière de la mode au Maroc. crédit : Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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Entourée des deux curatrices de l’exposition, Zineb Seghrouchni de DAR cultural agency et Ninke Bloemberg du Centraal Museum, la reine Máxima des Pays-Bas présente le livre de l’exposition. crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency

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Clap de fin de cet après-midi d’inauguration et photo souvenir avec la reine Máxima des Pays-Bas. crédit : Jelle Draper / Centraal Museum / DAR Cultural Agency