Au coronavirus, on dit Baaaa3

Au coronavirus, on dit Baaaa3

Un tour au marché de la Rahba à Hay Hassani et vous penserez que le Covid-19 est de l’histoire ancienne. À la recherche de la plus belle bête à sacrifier, les Casablancais balayent tous les appels au respect des mesures d’hygiène et de distanciation sociale. Un reportage de Yassine Toumi, le 28 juillet.

  • Voir le diaporama

    Des agents des forces auxiliaires demandent à un visiteur d'ajuster son masque. Pendant ce temps, certains ne semblent guerre concernés par l'obligation d'en porter. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel

  • Voir le diaporama

    Pour ce vieux kessab, c'est un Aid pas comme les autres. Les conditions imposées par les autorités pour accéder au marché et l'ombre du virus ne laissent personne indifférent. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel

  • Voir le diaporama

    Les kessabas qui prévoyaient une bonne saison se retrouvent heurtés à la dure réalité à cause de la nouvelle conjoncture. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel

  • Voir le diaporama

    Souk Rahba à Hay Hassani, le 28 juillet. Vous avez dit distanciation sociale ? Crédit : Yassine Toumi/TelQuel

  • Voir le diaporama

    Masques et distanciation sociale semblent de l'histoire ancienne. À l'entrée de ce marché, toutes les règles tombent à l'eau. Ce qui prime, c'est de tomber sur le beau mouton qui va concurrencer ceux des voisins. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel

  • Voir le diaporama

    "Allô, oui c'est un beau serdi, il broute un peu et je le ramène à la maison". Crédit : Yassine Toumi/TelQuel

  • Voir le diaporama

    Marchander c'est bien, mais bien ajuster son masque c'est encore mieux. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel